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Eclaircissements

Ce livre fait suite à A vrai dire. Nouvelle série d’études et de portraits critiques d’écrivains qui posent problème, à titre divers, à Henri Guillemin dans sa quête de la vérité.

De nombreux documents inédits sont ici présentés, concernant Benjamin Constant, Alfred De Vigny, Lamartine, Victor Hugo, Zola.

Un regard renouvelé, acéré, pour y voir en quelque sorte plus clair, pour débusquer ce qui reste caché derrière l’enveloppe publique ou officielle, porté sur Racine, Voltaire, Madame de Staël…

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Pas à pas

Dans ce livre, Henri Guillemin se livre à une sorte d’auto analyse de sa longue carrière d’historien de la littérature. C’est à la fois un bilan, une réflexion sur ce que doit être, à ses yeux, un véritable historien, une justification pédagogique des raisons qui l’ont amené à mettre en lumière la face cachée des plus grandes figures de la littérature française : Alfred De Vigny, Benjamin Constant, mais aussi, Victor Hugo, Emile Zola, Jean-Jacques Rousseau, et bien d’autres. Il s’agit toujours de tordre le coup à la légende au nom de la vérité.

La vérité, là est le maître mot pour Henri Guillemin : « Eh oui, nulle autre méthode : pas à pas. A tout petits pas, c’est ainsi que progresse l’histoire littéraire. Pas à pas. Nous autres, les prolétaires de l’érudition, nous faisons notre petite tâche, commandée par une seule loi : le souci de la vérité ».

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Précisions

Après A vrai dire, Eclaircissements, Pas à Pas, voici un quatrième recueil d’études littéraires, menées avec la même verve et la même recherche effrénée de la vérité.

Pour Henri Guillemin, connaître ce qu’a été la véritable trajectoire humaine des hommes qui ont fait les Lettres françaises, sera toujours d’une extrême importance.

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Zola, légende et vérité

Paru chez Julliard en 1960, entré dans la collection de poche « 10/18 » en 1971, ce petit livre fut réédité par Utovie dès 1979, puis en 1997 et 2012, ce qui est un signe de son importance.

Guillemin raconte en ouverture de ce recueil de quatre études comment, adolescent, il s’était vu interdire la lecture du satanique Zola par un prêtre mâconnais, et à quel point, adulte, il continuait de regretter de ne pas avoir pu découvrir alors, au moins, J’accuse. Zola est en effet pour lui, dès qu’il le lit enfin, une de ces « créatures debout » qu’il admire.

Il étudie ici ses années de jeunesse, son rapport complexe au catholicisme, les fiches que tenait à jour à son sujet la police, ouvre enfin l’inattendu dossier « Claudel et Zola », et, à son habitude, renouvelle la vision humaine que nous pouvons avoir d’un Zola qui, à coup sûr, « n’était pas Satan ».