Publié à Neuchâtel en 1942 avec des dessins d’André Rosselet, ce récit a été repris par Utovie en 1982 avec des illustrations de Dominique Duplantier.
Cela se passe à l’arrière des lignes, pendant la première guerre mondiale ; Guillemin raconte comment, dans la dévastation générale, une amitié naît entre un enfant français et un prisonnier allemand.
Éloge de la fraternité humaine et protestation contre la sale guerre, ces pages étaient, lors de leur première parution, chargées d’une intensité évidente, et qui est encore perceptible parce qu’il sera toujours bon d’écrire contre la haine.